La religion des sept est la plus pratiquée de Westeros. Elle est originaire des Andals et à progressivement remplacée le culte des anciens dieux vénérés par les enfants de la forêt et les premiers hommes. Ce culte est désormais pratiqué dans toute la moitié Sud du continent. Les sept dieux représentent les sept branches d’une étoile dont la genèse remonte avant la conquête d'Aegon. Le livre qui la raconte est nommée sous le nom de l'étoile à sept branche. Il est divisé en plusieurs « livres » aux noms des septs divinités du culte. Il est d'ailleurs d'usage, pour le fidèle, de ritualiser sa prière en faisant le signe de l'étoile. Le Livre des Prières sacrées est un recueil de prières. Dans l'étoile à sept branches, il est affirmé que les Sept marchaient parmi les collines des Andals sous forme humaine. Le Père a ramené sept étoiles du ciel et les a placées sur le front de Hugor de la Colline, le premier roi des Andals, pour former sa couronne et Jouvencelle lui présenta une pucelle aussi souple que le saule, avec des yeux comme de profonds bassins bleus, et Hugor déclara qu'il la prendrait pour épouse. Aussi la Mère la rendit-elle fertile, et l'Aïeule prédit-elle qu'elle donnerait au roi quarante et quatre fils vaillants. Le Guerrier donna force à leurs bras, tandis que le Ferrant façonnait pour chacun une armure de plaques de fer.


La religion des Sept fait appel à la notion de péchés (opposés aux vertus incarnées par les Sept) qui ne peuvent être jugés que par le Père. Cependant, la rémission de ces fautes peut être obtenue par la repentance, la pénitence et l'absolution par la confession donnée par un septon. Comme il est écrit dans L'Étoile à sept branches : «sept enfers attendent les pécheurs qui ne se repentent pas». Toutefois, si l'homme qui se repent voit ses péchés absous, il doit néanmoins payer pour ses crimes: «les péchés peuvent être pardonnés, mais les crimes doivent être néanmoins punis». De plus, la religion des Sept fait appel à la notion d'immortalité de l'âme], les morts semblant être conduits par l'Étranger auprès du Père pour être jugés, puis atteindre une béatitude éternelle ou l'un des sept enfers. Dans la religion des Sept, en tout cas au sein des religieux les plus stricts, la femme est vue comme un être naturellement enclin à la luxure.


Dans cette religion, le chiffre sept à une importance considérable que l'on retrouve dans les septuaires (sanctuaires à sept côtés), les sept enfers et les sept cieux. Lors des grandes manifestations religieuses (généralement il y a sept ou soixante-dix-sept septons et septas). Dans les rituels d'accession à la chevalerie, les chevaliers sont oints des sept huiles. Les croyants sont donc particulièrement attentifs aux signes comportant le chiffre sept. La traditionnelle bannière de paix est une bannière aux couleurs de l'arc-en-ciel, avec sept pans, et une étoile à sept branches sur la hampe.

Le père Représenté par un homme barbu dans la force de l’âge invoquant l’autorité et la justice. Il est généralement invoqué pour les duels judiciaires, les mariages posant le regard de la vérité et l'aveu divin. Le père est aussi mentionné lors de l'adoubement des chevaliers comme la première divinité sur lequel il doit jurer.
La mère Représentée par une femme d'âge moyen et souriante. Elle est symbole de la maternité, la pitié, la miséricorde et accorde la protection aux enfants et aux femmes. Les mariages sont célébrés à son effigie ainsi que celle du père. La mère est mentionnée lors de l'adoubement des chevaliers et pendant les mariages.
L'Aïeule Représentée par une vieille femme tenant une lanterne, elle est l'incarnation de la sagesse des anciens et indique le chemin à suivre et la raison. On la prie lors des décisions importantes, pactes/contrats d'affaire qui engage la parole et les actes.
Le Guerrier Représenté à l'image d'un soldat en armure. On le prie pour les batailles victorieuses, les duels, et pour mettre les navires à l’eau. Le guerrier est aussi mentionner lors de l'adoubement des chevaliers et d'être brave en son nom.
La jouvencelle Jeune fille aux cheveux longs. Elle est symbole de pureté et protège les vierges. Elle préserve l'innocence et l'honneur des jeunes filles. La jouvencelle est aussi mentionner lors de l'adoubement des chevaliers.
Le Ferrant Symbole de l'artisan et du travail, il est vénéré par les paysans, les forgerons qui lui réclame une bonne moisson et de la force à l'ouvrage. On mentionne aussi le Ferrant lors de l'adoubement de chevalier.
L'Etranger Représenté sans visage ou revêtu d'un drapé masquant son apparence. Pour les adorateurs du dieu Multiface, l’Étranger serait l'alter-ego de leur propre divinité. Il est le dieu le moins apprécié de ce panthéon car il est l'incarnation de la mort et de ce qui est inconnu.. Allégorie des peurs et des angoisses des hommes. On le prie pour la protection des morts..

Le culte est rendu dans un septuaire, bâtiment heptagonal plus ou moins important selon la communauté dans laquelle il est édifié. Certaines parties des célébrations peuvent être chantées. L'office est célébré à la lumière d'un cristal taillé à sept faces et l'encens parfume les lieux de culte. Il s'agit en effet d'un ordre mixte, structuré et hiérarchisé. Le grand septon représente le chef suprême de la Foi des sept qui officie à Port-Réal. C'est un rôle qui est tenu à vie. Après la mort d'un Grand Septon, le suivant est élu par ses pairs lors d'un concile où nul n'est admis, exceptés les septons. Leurs saintetés Désigne les septons et les septas chargé d'élire le nouveau Grand septon à sa mort, les Saintetés résident à Port-Réal. Les Septons Prêtres, Prêtresses, qui officie dans un septuaire. les septons dirigent les cérémonies religieuses et notamment les mariages. Un septon est présent lorqu'un chevalier jure de défendre la Foi de Sept. Les Doyens  dirigent les septistères. Secondé par des coadjuteurs, le Doyen s'occupe d'organiser les contacts avec l'extérieur et au confort des hôtes du septistère. Dans les communautés qui ont fait vœu de silence, il est le seul à avoir le droit de parler, les autres frères ne pouvant prendre la parole que lors des confessions. Les soeurs du silence Chargée d'embaumer les morts, elles font voeux de silence à compter de leur arrivée dans l'ordre. Elles ont de longs vêtements gris qui dissimulent leur corps à l'exception de leurs yeux. Les frères mendiants Adepte d'une vie d'humilité et de pauvreté. On les reconnait à leurs pieds-nus et à leurs haillons. Ils sillonnent le royaume des Sept Couronnes tout entier pour y prêcher les bonnes paroles.

Le mariage est un rituel très sacré chez les sept. Ce rite est précédé par des fiançailles qui engage deux parti à une union future. (Celle ci est souvent proportionnelle à un an avant le passage devant le septon) mais peut être plus longue. Chez les sept, côtoyer sa promise ou son promis à la veille des noces est annonciateur de malheurs. On préfère pour cela séparer les époux et les maintenir isolés le soir précédent leur union. La cérémonie est précédé le matin par un petit-déjeuner pris séparément par les deux époux au sein de leurs familles respectives, les hommes de celle de l'épouse peuvent toutefois assister au repas de l'époux. C'est à cette occasion que les cadeaux de noces sont offerts aux mariés. Plus tard, la future épouse est amenée devant l'autel par son père (en cas d'absence de ce dernier, son suzerain ou un proche parent le supplée). La tradition veut que la promise soit couverte d'un manteau aux couleurs de sa maison, appelée «le manteau de la jeune fille» cousue par elle. Il est le symbole de sa vie passée et de la protection de son père. Une fois devant l'hôtel, l'époux couvre les épaules de sa promise d'un manteau aux couleurs de sa nouvelle maison, symbolisant ainsi l'acceptation de celle-ci dans sa nouvelle famille et le fait que son mari remplacera désormais son père. Un septon préside l'assemblée, (témoignage du regard des dieux sur la légitimité de leur mariage). Les époux poursuivent par l'échange des consentements mutuelle:

« Par ce baiser, je vous engage mon amour et vous prends pour mon seigneur époux » dit la promise
« Par ce baiser, je vous engage mon amour et vous prends pour ma dame épouse ». dit le promis

« En ces lieux, au regard des dieux et des hommes, je déclare solennellement que xxx et xxx sont mari et femme, une seule chair, un seul cœur, une seule âme, à présent et à jamais, maudit soit ceux qui se mettrait entre eux »

Le septon soulève un cristal à sept faces et scelle leur promesse. Les mariés s'embrassent et se tournent vers la foule. Quel que soit son rang dans la hiérarchie cléricale, aucun religieux n'a toutefois le pouvoir de déclarer mariée une femme qui refuserait de prononcer les paroles sacramentelles. La fin de la cérémonie est marquée par des vœux de félicité exprimés tour à tour par les convives. La cérémonie religieuse est suivie d'un banquet auquel sont conviés les proches des deux époux, voire la noblesse locale dans le cas des mariages entre personnes de haut rang. Après que les époux ont été embrassés par la parentèle de leurs belles-familles respectives et une prière prononcée par le septon, le repas est l'occasion de réjouissances et de libations lors desquelles les participants renouvellent leurs vœux de bonheur aux mariés.

Ce repas se clôt par la cérémonie du coucher au cours de laquelle les deux époux sont chacun amenés par les convives de l'autre sexe à leur chambre nuptiale. Le trajet jusqu'à la chambre est l'occasion de nombreuses réflexions et blagues grivoises alors que les mariés sont progressivement dévêtus par l'assistance. Ils pénètrent ainsi nus dans la chambre du coucher. Il arrive parfois que les draps ayant accueilli leur nuit de noces soient montrés au petit matin afin d'attester de la virginité de l'épousée (quand il s'agit de ses premières noces). Le coucher scelle les noces, le mariage pouvant être considéré comme caduc si les époux n'ont pas couché ensemble. Un mariage est rarement anodin pour la religion des sept. Il témoigne d'une filiation inviolable et sacrée, difficile à brisée et où le divorce reste exceptionnel. Un mariage n'est considéré nul que s'il n'est pas "consommé" dans la couche.

les anciens dieux ont été à l'origine adorés par les enfants de la forêt dans l'ensemble de westeros. Ils sont symbolisés par des arbres barral et des statut de pierres à l'effigie anonyme. Ils sont encore vénérés par les nordiens, paludiers et le peuple libre au-delà du mur. La religion des anciens dieux est restée forte à Westeros jusqu'à l'invasion des andals. Ces derniers ont conquis progressivement le sud de Westeros, coupé les barrals et ont supplanté la religion des anciens dieux, à l'exception de la maison Nerbosc dans le Conflans. Les anciens dieux ont toujours été adorés dans le nord, et par les habitants d'au-delà du mur. Les fidèles de la religion des sept ont obligé le peuple à se défaire des anciens dieux.


Il n'y a pas de prêtres, pas de textes sacrés, pas de chansons de culte, et pratiquement pas de rites qui vont avec le culte des anciens dieux. C'est une religion transmise de façon orale de génération en génération. La chose la plus proche à un rituel reste la prière devant l'arbre de cœur. Il est dit que le soupir du vent et le bruissement des feuilles sont les anciens dieux qui parlent aux fidèles. Les barrals ont des visages sculptés, appelés cardiaques, et sont considérés comme sacrés. les prières, les serments, et les mariages sont souvent réalisées en présence d'un arbre de cœur. Les visages ont été creusés dans les barrals par les enfants de la forêt, mais leur sens ou l'objet n'est pas complètement compris par les humains.

La cérémonie du mariage dans la religion des anciens dieux est similaire à celle de la religion des Sept, mais avec quelques différences. Elle se déroule dans un bois sacré, l'échange des consentements se faisant devant un arbre barral. Dans le Nord, la cérémonie est officié par le responsable de la maison du fiancé, (habituellement son père). La cérémonie de mariage se déroule la nuit dans le bois sacré d'un château, avec l'arbre-cœur en son centre pour que les Anciens dieux puissent être témoins de la cérémonie. Les invités portent des lanternes pour éclairer la zone. Le futur marié attend sa promise devant le barral, sa promise est accompagnée par son père (ou un autre membre de sa famille si le père n'est plus). Le père du promis demande à l'accompagnant de la fiancée :

« Qui va là ? Qui s'avance devant les anciens dieu ? » Ce à quoi répond l'accompagnant répond « Lady xxx, de la maison xxx suivi de ses titres éventuels, vient ici se marier. Une femme accomplie et fleurie, de naissance légitime et noble, elle vient implorer la bénédiction des dieux. Qui vient la revendiquer ? » Le fiancé lui répond « Moi, xxx, de la maison xxx suivi des titres du futur époux, je la revendique. Qui l'accorde ? » Le père de la promise ou son remplaçant se nomme et précise son lien avec la future épouse. « Moi, ser xxx, de la maison xxx suivi des titres éventuel, son père, son frère, ou autre » Le père du promis s'adresse ensuite à la fiancée « Lady xxx de la maison xxx acceptez vous cet homme ? » La promise répond et s'avance vers son promis, l'accompagnant se retire. Les deux futurs époux s'agenouillent devant le barral pour une prière silencieuse. Le promis retire ensuite à sa fiancée son manteau aux armes de sa maison paternelle, et la revêt du manteau à ses armes, comme dans le Sud, puis l'emporte dans ses bras, ce qui clôt le mariage. La cérémonie du coucher est moins suivie dans le Nord, où la mariée peut simplement être amenée à la chambre nuptiale sans être dévêtue par la foule.

Le dieu Noyé est la divinité principale de la religion des Fer-nés. Son élément est la mer, où se trouve son royaume. Il s'agit d'une religion dualiste, le dieu Noyé ayant un pendant négatif incarné par le dieu des Tornades, maître du vent. Aussi connu comme "celui qui réside sous les vagues", il est la divinité de la mer. La religion du dieu noyé est vieille et remonte d'avant l'invasion des andals. la religion du dieu noyé soutient la culture des pirates, elle incarne aussi le symbole de la force, de la violence et la valorisation des pillage.


La philosophie du culte est liée aux fondements de la culture fer-née. Elle témoigne de la lutte permanente contre la rudesse des conditions de vie dans les îles de Fer. Les principes de cette religion sont à l'image du sacrifice du dieu qui s'est noyé pour son peuple avant de revenir à la vie. Elle enseigne l'acceptation des épreuves, un mode de vie volontaire dans lequel seuls les plus forts peuvent survivre. De plus, les guerriers fer-nés ne craignent pas la mort par noyade, n'hésitant pas à se battre en armures lourdes sur le pont de leurs bateaux. S'ils ont bien suivi les préceptes de l'Antique Voie (code de conduite émanant des traditions orales du peuple Fer-né), ils ont l'assurance de festoyer à jamais dans les demeures liquides du dieu Noyé, servis par les sirènes.

Le culte du dieu noyé est géré par des prêtres et leurs disciples que l'on nomme les noyés. On les reconnaît généralement à leurs robes de bures grises et bleues aux couleurs de la mer ainsi qu'à l'arme symbolique d'une trique de bois flotté.  

Les Fer-nés sont traditionnellement baptisés par immersion dans l'eau de mer comme leur navires. Ils élisent leur roi sous le consentement du dieu noyé. Une cérémonie rituelle est organisée consistant à plonger le nouveau roi sous l'eau jusqu'à ce que ses poumons se remplissent et soit ensuite ramené sur la terre. Si le roi survit, il est reconnu de ses sujets et peut régner sur le trône de sel. A l'image de leur roi, tous les fers nés sont baptisés en étant complètement immergé de la même manière. Le prêtre du dieu Noyé répètent alors les paroles suivante

« Fais que ton serviteur renaisse de la mer comme tu en renaquis. Accorde-lui la bénédiction du sel, la bénédiction de la pierre, la bénédiction de l'acier » « Ce qui est mort ne saurait plus mourir » « Ce qui est mort ne saurait plus mourir mais ressurgit plus rude et vigoureux »

Culte originaire d’asshai-les-ombres, la religion du dieu du feu est très populaire à essos. r'hllor incarne le maître de la lumière. on le surnomme aussi coeur du feu ou dieu de la flamme et de l'ombre. C'est une divinité ancienne, importante de l'autre côté du détroit, mais qui ne compte que très peu d'adeptes à Westeros.


La religion de R'hllor est fondée sur l'affrontement de deux idéologies. L'un est bénéfique et l'autre maléfique. Au principe bénéfique sont associés la lumière, le jour, le blanc, le feu, l'amour, le doux, le féminin, le plaisir, l'été, le bien, la vie. L'autre étant représenté par la nuit, la couleur noire, la glace, la haine, l'amer, le masculin, la peine, l'hiver, le mal, la mort. Ces deux principes sont en guerre depuis l'origine des temps, et ce, jusqu'à la fin de ceux-ci. R'hllor est le chef du côté de la lumière, on le surnomme ainsi le maître de la Lumière, cœur du feu, dieu de la flamme et de l'ombre, qui a créé le soleil, les étoiles et l'humanité. Du côté du mal, là est "l'Autre". Chaque homme est appelé à choisir son camp dans cette guerre. Selon les croyants de R'hllor, les divinités des autres religions ne sont que de faux dieux, ou des manifestations de l'un des deux seuls véritables êtres divins.

Résidant à volantis, le premier servant incarne l'équivalent du grand septon de cette religion. suive les prêtres et prêtresses rouges, prêchant la parole de leur dieu au quatre coin de westeros ou d'essos. les prêtes rouges restent souvent mentionner comme des être doté de plusieurs pouvoirs. ils seraient ainsi capables de lire dans les flammes ou de contrôler l’esprit d’autrui. Parmis la hiérarchie de cet ordre, on peut également noté les grâces rouges qui sont des femmes de bonnes naissances où des esclaves donné pour la pratique exclusive de la prostitution sacrée (une sorte d'offrande au dieu de la lumière) de vierges qui lui accorde sa virginité. la main ardente, fait également état d'un ordre masculin représentant l'armés sacré du culte de r'hllor. on les reconnaît à leurs capes rouges et à leurs piques dont la pointe a la forme d'une flamme.

L'élément du feu est essentiel au rituel du mariage. En général, un bûcher énorme est érigé lors de la cérémonie ainsi qu'un autre qui servira à être traversé par les époux. Un prêtre ou une prêtresse rouge préside l'assemblée à la manière d'un septon.

« la nuit est sombre et pleine de terreurs. seuls nous naissons et seuls nous mourrons, mais en traversant cette vallée obscure, nous puisons notre force l'un de l'autre et de toi notre maître. ils sont deux qui s'avancent ce jour pour unir leurs vies, afin d'affronter ensemble les ténèbres de ce monde. emplis de feu leurs cœurs, seigneur, qu'ils puissent suivre ta voie brillante pour toujours main dans la main. »

L'assemblée de témoin au mariage lui répond « maître de la lumière, protège-nous. Maître de la lumière, bénis tes enfants. » Le prêtre invite ensuite les époux à le rejoindre près d'une butte ou il se trouve face à eux en dessous duquel se trouve un feu. « qu'ils approchent, ceux qui veulent s'unir. » le père ou le remplaçant se présente accompagné de la promise, puis déclare au prêtre « Voici que se présente xxx, de la maison xxx. une femme adulte et fleurie, de noble sang et de noble lignée. » le prêtre se tourne alors vers le promis « qui vient revendiquer cette femme ? » le promis se présente à son tour. l'officiant lui demande « xxx, de la maison xxx, veux-tu partager ton feu avec xxx xxx, et la réchauffer quand la nuit sera sombre et pleine de terreurs ? » l'officiant pose la même question à la promise qui répond en général par l'affirmative. « alors, venez à moi, et ne faites qu'un ! » Les époux sautent au-dessus du feu du bûcher, rejoignant le prêtre de l'autre côté. Celui-ci conclut la cérémonie en déclarant « deux sont entrés dans les flammes. il en émerge un. ce que le feu a uni, nul ne peut le disjoindre. »l'assemblée répète cette maxime, le marié recouvre ensuite son épouse d'un manteau à ses couleurs, avant que tous deux ne s'embrassent

Originaire de braavos, le culte du dieu multiface est rendu dans la maison du noir et du blanc. c’est un culte très respecté par les Braaviens même par ceux croyant en une autre religion. C’est une religion austère et sacrificielle dirigée par des prêtes secondés par des acolytes et des domestiques. Ce culte demande une dévotion totale jusqu’à ce que le protagoniste renie ou se dépossède de son identité et de son visage. Selon ses adeptes, le dieu Multiface serait l'avatar de toutes les divinités existantes. (Le culte lui-même ne semble pas être très connu en dehors des Braaviens). Malgré cela, son origine est bien antérieure à la fondation de la cité de Braavos.

Les légendes des serviteurs du dieu Multiface remonte durant l'antique Valyria. A cette époque, de nombreux esclaves originaires de contrées différentes étaient tués à la tâche dans les mines de métaux. Ces peuples réduits en esclavage par les Valyriens adoraient des divinités différentes auxquelles ils adressaient des prières pour demander la délivrance de leurs maux dans les mines. La légende prétend qu'un de ces esclaves aurait pris conscience qu'une divinité unique aux multiples visages se cachait derrière la centaines de divinités adorées par les esclaves. Il se mit à offrir la délivrance des douleurs terrestres à certains esclaves, puis aux maîtres eux-mêmes par la mort. Cet homme est considéré comme le premier Sans-Visage de l'ordre.


Aucune messe, aucune prière et aucun chant. mais les sans visages se salut par la maxime traditionnelle suivante: "valar morghulis et valar dohaeris." traduisant "tout les hommes doivent mourir, tout les hommes doivent servir". les sans-visages sont les porteurs de la parole du dieu multiface comme une délivrance sur les hommes et ce qu'ils croient. Ils s'agit également d'une guilde d'assassin visant à exploiter les morts comme usage principal de leur culte à la gloire de leur dieu qui change de peau. Lorsqu'ils ne sont pas engagés par un tiers, les sans-visages traque le plus souvent des personnes aux mauvaises actions visibles. Le dieu multiface offre également une mort douce à ceux qui le demande. Ses adeptes y voient là un cadeau et une délivrance.

Résidant à volantis, Les sans visages incarnent des officiants de l'ordre, parfois chargé de tuer une cible en échange de gains conséquents, ils sont réputés pour ne jamais raté leur cible. Ils se réunissent régulièrement dans la demeure du noir et du blanc afin de se répartir leurs missions. Chacun peut refuser une mission s'il connaît la victime. L'identité du commanditaire n'est pas révélée, ni ses motivations. Les sans visages ne donnent la mort jamais à leur profit, ni pour en tirer plaisir ou gloire. Seule la victime désignée doit mourir, et sa mort doit sembler naturelle, ou en tout cas explicable sans que l'intervention du assassin soit soupçonnable. Ils ont abdiqué leur nom, leur passé, leur famille, leurs possessions, et jusqu'à leur visage. Ils doivent rester humbles et obéissants. Devenir un sans visage demande du temps.. et un investissement totale. Trahir l'ordre est aussi passible d'une mort certaine pour eux.  Les acolytes Apprentie Sans-visages, il commence par les basses besogne avant qu'on ne lui offre le titre d'acolytes. Le novice apprend essentiellement à déceler le mensonge chez les autres. Il fait également l'apprentissage de l'immobilité et de la fabrication de potions et de poisons. Il lui faut étudier les langues. Il doit savoir se servir de ses cinq sens et savoir tuer en silence. Un acolyte peut arrêter sa formation à tout moment s'il le désire, mais cet arrêt est définitif, sans possibilité de retour. Les domestiques En charge de l'entretien du temple, ménage, cuisine et entretien des corps.